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Kurt Masur, qui avait annoncé en 2012 qu'il était atteint de la maladie de Parkinson, s'est éteint à Greenwich dans le Connecticut, au nord-est des Etats-Unis, selon le New York Times. Il a dirigé les plus grands orchestres du monde. Le Philharmonique de 1991 à 2002, puis l'Orchestre national de France de 2002 à 2008.
"Les musiciens de l'Orchestre national de France, son directeur musical Daniele Gatti et tous ceux qui à Radio France ont collaboré avec Kurt Masur conservent de lui le souvenir d'un musicien d'exception et d'un grand humaniste", ont indiqué dans un communiqué Mathieu Gallet, président de Radio France et Daniele Gatti. Kurt Masur était parvenu "à tisser une relation privilégiée avec les musiciens, stimulant ce +désir d'apprendre à jouer ensemble+ qui distingue les orchestres les uns des autres+", a rappelé le communiqué. France Musique consacrera lundi 21 décembre une journée spéciale à Kurt Masur.
Emmanuel Dupuy, rédacteur en chef de Diapason, s'alarme du désengagement programmé de l'Etat dans le financement des conservatoires de musique. Une décision qui risque d'aggraver les inégalités et mettre en danger la formation du public et des musiciens de demain.
C'est le dossier brûlant du moment. Il y a deux mois l'intention affichée par la Mairie de Paris de réformer ses dix-sept conservatoires d'arrondissement m'incitait à la plus vive inquiétude. Aujourd'hui, c'est pour toute la galaxie des conservatoires qui illuminent nos vingt-deux régions que l'on doit s'alarmer : à compter de cette année, l'Etat ne leur versera plus un centime.
Plus un kopeck pour les conservatoires !
Certes, la part ministérielle a toujours été minoritaire dans leur financement : moins de 10 % il y a dix ans. Mais, depuis, elle n'a fait que fondre, sous l'effet des lois de décentralisation de 2004, au point de devenir nulle à ce jour. On comprend mieux, alors, pourquoi les « Conservatoires nationaux de région », qui n'avaient en réalité de nationaux que le nom, ont été rebaptisés « Conservatoires à rayonnement régional »... Seule une poignée d'établissements adossés à des pôles universitaires seront épargnés. Pour les autres : plus un kopeck, des clous, macache.
Conséquence de ce désengagement, la totalité des charges est désormais supportée par les collectivités locales – en particulier les villes –, alors même que les dotations de l'Etat qui leur sont allouées diminuent. Sur le terrain, le jeu de massacre commence : là c'est un professeur parti à la retraite qui n'est pas remplacé, ici ce sont des sessions d'orchestres annulées, des classes à horaires aménagées fermées, ailleurs on augmente les frais d'inscription, ou bien on cherche à recruter des enseignants moins rémunérés, donc moins qualifiés... Bref, c'est tout le système qui souffre.
Rédigé par Mérième Alaoui | Jeudi 20 Août 2015 - Saphir News
Le 1er juillet 2015, la commission de la culture, de l’éducation et de la communication du Sénat a organisé une table ronde sur la situation des conservatoires, qui a réuni des représentants de conservatoires à rayonnement régional, départemental et intercommunal, ainsi que des responsables de services culturels de collectivités territoriales et des usagers des conservatoires.
Les spécialistes ne parviennent toujours pas à déterminer l'identité des différents auteurs du "Requiem", mais ils savent enfin pour qui il était destiné.
Une course contre le temps. Depuis 1791, les hypothèses s'accumulent sur l'origine de la composition du "Requiem de Mozart. Pressé par le manque d'argent, Mozart travailla vite et parvint à achever le concerto pour clarinette et la Flûte enchantée".
Il composa la "Petite Cantate" dans un état de santé de plus en plus fragile. A l'âge de 35 ans, il est conscient que sa fin est proche. Un mystérieux commanditaire lui offrit une bourse et la promesse d'un bon salaire s'il lui composait un requiem pour sa femme défunte. Mozart était déjà endetté et se mit immédiatement à l'oeuvre.
A mesure qu'il composait, il était certain de signer son propre arrêt de mort. Persuadé d'avoir été empoisonné, totalement affaiblit mais toujours soucieux d'achever son travail, Mozart fit venir un assistant, puis un chanteur et des musiciens qui exécutèrent des passages de la composition. Mozart fut pris d'une fièvre et serait mort en fredonnant la mélodie le lundi 5 décembre 1791 sans achever l'oeuvre.
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